En direct de l’établi.

L’étape suivante de la construction de ma voiture Brandbright en SM32 constitue à mettre en place la toiture. Après un peu de réflexion et aucune solution valable de trouvée, j’ai abandonné mon projet de rendre la toiture de ce véhicule amovible. C’est dommage, mais de la manière dont est constitué le kit, je n’ai rien trouvé de valable et de sécurisé. Donc, celle-ci a été collée comme préconisé dans la notice. Il y a une sous toiture avec la partie intérieure de gravé et une deuxième couche pour la partie extérieure. J’ai choisi de représenter le revêtement goudronné côté extérieur en collant un morceau de papier de verre noir dessus. Cela rend pas mal. Je ne l’ai pas patiné pour le moment. Mes locos en vapeur vive s’en chargeront ! Pour l’aspect esthétique et aussi parce que cela a existé, je prévois d’installer dès que j’en aurai, une petite lampe à huile sur cette toiture.
Il est temps de mettre cette caisse sur ses roues. Après peinture des boites d’essieux en noir matt à la bombe Humbrol, il n’y a plus qu’à les remettre en place pas simple vissage. Une fois tout cela fait, c'est le moment de regarder si la hauteur des attelages est compatible avec le reste du matériel. Les tampons ne sont pas fournis dans le kit afin que le constructeur choisisse le type et la marque ce ceux qu’il veut installer. Pour ma part, j’ai une préférence pour les petits modèles IP Engineering qui représente assez bien les petits tampons que l’on trouve sur ce type de matériel du Ffestiniof Railway. Après mise en apprêt et deux couches de peinture Interfer à l’aérogaphe, ceux-ci sont installés sur la caisse, la aussi par simple vissage. Histoire de détailler un peu plus les extrémités de caisses et après avoir observer quelques photos d’un modèle réel, je me suis décidé à mettre en place les conduites d’air. Celles-ci sont des modèles en métal blanc Brandbright qu’il faut mettre en peinture. La partie flexible est représentée avec un ressort et l’on peut réalisé comme en réalité l’accouplement entre deux voitures si on le désire ! Je n’ai pas encore regardé pour le dessous du châssis, mais il me semble délicat de représenter toute la tringlerie de freinage. C’est le genre de détail qui risque de souffrir surtout lorsque que l’on roule dehors sur un réseau de jardin. Au minimum, je vais essayer de placer les sabots de frein. Les roues ont été brunis à la solution chimique, mais comme l’effet ne me plaisais que moyennement, j’ai utilisé du feutre Woodland Scenic pour la patine des rails afin de parfaire la chose.
Les petites plaques de numérotation du véhicule, que l’on voit sur les portes, sont fournies dans le kit. Elles sont à la base en bois gravé au laser.Petite anecdote, comme la gravure n'est pas parfaite pour les deux mêmes numéros (et ce malheusement pour les quatre paires...) j'ai volontairement mis deux plaques au numérotation différentes de chaque côté de la voiture sachant que quand le train passe on ne généralement regarde qu'un côté à la fois! Ma voiture est maintenant prête à prendre du service dans ma compagnie de préservation du matériel à voie étroite Gallois. 

Vue de trois quart. Le tampon IP Engineering et la conduite de frein Brandbright ajoutent un petit plus à ce symphatique modèle. 

Sur cette vue en élévation on s'aperçoit bien qu'il n'y a pas de sabots de frein ( pour le moment) Et comme on voit une des conduites de freins on peut toujours dire que ce véhicule est équipé d'une conduite blanche....;-)

Le revêtement de la toiture goudronnée en version papier de verre. On verra ce que cela donne à la longue une fois arrosé par les échappements des locomotives à vapeur.

A bientôt !